À tout juste 21 ans, Hoshi – « étoile » en japonais – semble bien déterminée à s’installer durablement dans la galaxie musicale française et à y briller avec éclat. La jeune femme écrit, compose et interprète ses propres chansons depuis l’âge de 14 ans et la promesse qu’elle s’est faite de se réaliser dans la musique. Avec des influences marquées (Brel, Gainsbourg, Patti Smith…) et un parcours déjà impressionnant (The Voice, Rising Star), Hoshi donne cette année une nouvelle dimension à sa carrière. Son clip Ta marinière fait l’unanimité et les dates de concert s’enchaînent. Hoshi est incontestablement l’une des révélations du Free Music Festival de Montendre.

TDE : Quand et comment arrive-t-on si jeune et si vite dans la musique ?

Hoshi : J’ai découvert un vinyle de Jacques Brel chez mes grands-parents quand j’avais six ans. Je l’écoutais en boucle. C’est grâce à cela que j’ai commencé le piano. J’ai commencé à faire de la guitare et à écrire à l’âge de quinze ans. J’ai eu un furieux besoin de raconter ces mots et c’est à ce moment que le projet est né.

TDE : Quel est à ce jour votre plus beau souvenir artistique ?

Hoshi : Mon concert à La Maroquinerie, c’était le premier concert parisien de mon album, il y avait ma famille, mes fans, mes ami(e)s, c’était un très beau moment.

TDE : Quelles qualités requiert la vie ou le métier d’artiste ?

Hoshi : Je pense qu’il faut être rigoureux, persévérant, patient, et par-dessus tout, sincère.

TDE : Quels sont les moments que vous préférez dans votre activité ?

Hoshi : J’aime mes nuits d’écriture et, sans hésiter, être sur scène.

TDE : Quels conseils donnez-vous à quelqu’un qui hésite à « franchir le pas » pour se lancer dans une carrière musicale ?

Hoshi : Le titre de mon album est « Il suffit d’y croire ». Il faut y croire, persévérer et ne pas hésiter.

TDE : Merci Hoshi, et bonne route !