#vendée #culture

 

Le parc a ouvert depuis quelques jours. L’effervescence du début de saison se ressent… Et pourtant, Thomas, responsable du club des partenaires, accepte de nous accorder un entretien pour nous parler de lui, de son métier, prenant et passionnant !

TDE : Comment devient-on un jour responsable de la billetterie… du Parc Elu meilleur parc du monde ?

On a tous à peu près le même parcours : d’abord saisonnier arrivé par hasard ou par passion (chevaux pour moi) …puis, une porte d’entrée à un poste permanent en CDI s’ouvre vers un métier qui n’existe pas encore ! En 1998, j’ai commencé comme agent de parking, puis, pendant mon année de maîtrise de droit on m’a proposé un poste permanent à la gestion de l’accueil. J’ai accepté en demandant à pouvoir terminer mon cursus universitaire, et je suis toujours là !

 

TDE : Arriver à l’un des postes stratégiques du Grand Parc du Puy du Fou, c’est difficile ?

Je dirai que ce n’est pas toujours facile, surtout qu’au début il faut créer un métier qui n’existe pas. On peut aussi dire que l’amplitude de travail est dense …

TDE : Quels sont les échecs qui vous ont le plus appris ?

Une autre facette de ma mission est d’être responsable d’exploitation référent … ça veut dire que lorsqu’il y a un problème avec une personne je dois aller sur place et tenter de résoudre ce problème. Je n’ai pas toujours réussi, ça endurcit, ça forge la personnalité.

TDE : Quelle est votre plus grande découverte, votre plus grand étonnement depuis que vous travaillez ici ?

L’absence de routine ! Tous les jours ça change ! Il y a une telle richesse dans la créativité avec une adhésion toujours plus forte du public, c’est époustouflant.

TDE : Quels sont selon vous les atouts qu’il faut avoir pour faire ce métier ?

Je suis plutôt un autodidacte. Le plus important c’est le savoir-être, le savoir-faire vient après.

TDE : Qu’est-ce que cela vous fait chaque matin, quand vous franchissez les portes du Grand Parc du Puy du Fou ?

Ça dépend de la saison ! En hiver c’est moins agréable. Plus sérieusement c’est toujours une nouveauté, chaque journée est différente.